La Motte-Chalancon

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La Motte-Chalancon
La Motte-Chalancon
Vue du village en 2022.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Diois
Maire
Mandat
Laurent Combel
2020-2026
Code postal 26470
Code commune 26215
Démographie
Gentilé Mottois, Mottoises
Population
municipale
405 hab. (2021 en diminution de 2,88 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 29′ 09″ nord, 5° 22′ 49″ est
Altitude Min. 517 m
Max. 1 424 m
Superficie 22,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Diois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Motte-Chalancon

La Motte-Chalancon est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Mottois et les Mottoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située en Drôme provençale à 9 km au nord de Rémuzat, à 43 km à l'est de Dieulefit et à 25 km au sud-est de Saint-Nazaire-le-Désert.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La commune est entourée de montagnes qui culminent à plus de 1 500 m d'altitude.

Elle est au croisement de quatre vallées et au commencement des gorges de l'Arnayon[1].

SItes particuliers :

  • le mont Alayant est attesté en 1891[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par :

  • le torrent l'Arnayon ;
  • la rivière Oule.
  • le Ruisseau d'Aiguebelle[3] est attesté en 1891. Il a sa source au col des Roustans sur la commune de Chalancon. Il traverse cette dernière puis passe sur la commune de La Motte-Chalancon où il se jette dans l'Oule après un parcours de sept kilomètres. En 1891, sa largeur moyenne est de 11,60 m, sa pente de 84 m, son débit ordinaire de 0,10 m3, extraordinaire de 15 m3[4].
  • le ravin Aigue-Douce, affluent de l'Oule, est attesté en 1891[5].

La commune possède des eaux minérales alcalines[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 911 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Bellegarde-en-Diois à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 016,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L'altiport[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Motte-Chalancon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), zones urbanisées (2,1 %), prairies (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Saint-Pierre est un quartier attesté en 1891[18]

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :

  • 1296 : La Mota (visites de Cluny).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Mota (pouillé de Die).
  • 1392 : Mota Chalanconis' (archives municipales de Gap).
  • 1441 : Mota Dyensis diocesis (cartulaire de Die, 165).
  • 1509 : mention de la paroisse : parrochia Mote (visites épiscopales).
  • 1509 : mention de l'église Annonciation de la Sainte-Vierge : ecclesia Beate Marie Chalanconis (visites épiscopales).
  • 1619 : mention de la paroisse : la cure de la Motte (rôle de décimes).
  • 1891 : La Motte-Chalancon, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Die.

La graphie La Motte-Chalançon est aussi largement attestée mais semble erronée[20].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Au néolithique, la région est habitée[réf. nécessaire].

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Sépultures et monnaies gauloises[1].

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie :

  • Au point de vue féodal, la terre était un fief des comtes de Diois[1].
  • 1286 : possession des Bourdeaux[19].
  • 1315 : la terre est partagée entre les Artaud et les Eurre[19].
  • 1446 : la part des Artaud appartient aux Monteynard, qui la possèdent encore au début du XVIe siècle[19].
  • Vers 1590 : la part des Eurre passe aux Moreton de Chabrillan[19].
  • 1627 : le tout est acquis par les La Morte-Laval[19].
  • 1760 : passe (par mariage) aux Chastellard, derniers seigneurs[19].

Le , pendant les guerres de Religion, le capitaine huguenot Charles Dupuy de Montbrun prend la ville d'assaut. Le village est pillé. Les huguenots massacrent ses habitants et « épousent les veuves et les filles de ceux qui furent tués », selon un témoin du temps[21].

Avant la Révolution française, la monarchie soutient la réaction seigneuriale par les édits de triage : le Devès, qui était un bois géré par la communauté, est confisqué par Mme du Châtelard, ce qui entraîne un procès entre la communauté et la dame (seigneur) du fief[22].

Avant 1790, la Motte-Chalancon était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église était sous le vocable de l'Annonciation de la Sainte-Vierge, et la cure de la collation de l'évêque. Les dîmes appartenaient au pitancier de Saint-Marcel de Die, comme prieur du lieu (Saint-Pierre)[19].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la Motte-Chalancon devient le chef-lieu d'un canton comprenant les municipalités de Arnayon, Establet, la Motte-Chalancon, Rottier, Saint-Ferréol et Villeperdrix. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) y ajoute les communes de Bellegarde, Brette, Chalancon, Çhaudebonne, Gumiane, le Petit-Paris, Pradelles, Rochefourchat, Saint-Dizier, Saint-Nazaire-le-Désert, Valdrôme et Volvent[19].

En 1893, La Motte-Chalancon est le deuxième village de la Drôme à être équipé de l'électricité grâce au projet privé de Romain Laganier[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1871   ?    
1874   ?    
1878   ?    
1884   ?    
1888   ?    
1892   ?    
1896   ?    
1900   ?    
1904   ?    
1908   ?    
1912   ?    
1919   ?    
1925   ?    
1929   ?    
1935   ?    
1945   ?    
1947   ?    
1953   ?    
1959   ?    
1965   ?    
1971 1977 Gabriel Mourier PS  
1977 1983 Gabriel Mourier   maire sortant
1983 1989 Gabriel Mourier   maire sortant
1989 1995 Émile Piccardi DVG  
1995 2001 Roger Besson DVG  
2001 2008 Roger Besson   maire sortant
2008 2014 Roger Besson   maire sortant
2014 2020 Laurent Combel   fonctionnaire
2020 En cours
(au 26 novembre 2020)
Laurent Combel[23][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La Motte-Chalancon était chef-lieu de canton jusqu'en .
Le redécoupage des cantons du département l'a placée dans le canton du Diois[24]).

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Villes et villages fleuris[modifier | modifier le code]

Village fleuri[1].

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La Motte-Chalancon est jumelée avec Stembert Verviers Drapeau de la Belgique Belgique, depuis 1971[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 405 habitants[Note 2], en diminution de 2,88 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1261 1611 1261 1111 2471 2351 2101 2381 097
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0471 0561 0191 0011 008977947872824
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
797790752634602570603525517
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
535486398393382395454456395
2015 2020 2021 - - - - - -
417410405------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le village a subi l'exode rural.

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fêtes : le 14 juillet et le deuxième dimanche d'août[1].

Loisirs[modifier | modifier le code]

  • Pêche[1].
  • Spéléologie[1].
  • Stages d'artisanat[1].

Sports[modifier | modifier le code]

Renault 8 Gordini participant au Rallye Monte Carlo historique 2010 à La Motte-Chalancon
  • Centre sportif[1].

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : vignes, lavande (distillerie et coopérative), agneaux de la Drôme, apiculture (miel)[1].

  • Foire mensuelle (sauf en mars, juillet et novembre)[1].
  • Marché : le mercredi[1].

Autres : élevage ovin, noix, agriculture biologique[réf. nécessaire].

Commerce[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Village ancien homogène : ruelles, passages voûtés, vieilles facades, fontaines[1].
  • Église Notre-Dame de La Motte-Chalancon, romane : chevet (ou chœur) du XIVe siècle[1].
    • Elle a été construite au XIIe siècle dans l'enceinte de l'ancien château fort du Xe siècle. Elle domine le village dont les constructions sont étagées autour d'elle en cercles concentriques.
Au XIVe siècle, des travaux tentèrent de lui donner un aspect gothique mais ils restèrent inachevés pour des raisons financières.
De 1896 à 1897, de grands travaux transforment l'église avec la construction de la voûte gothique de la nef.
En 1961, une restauration est entreprise dans l'esprit du concile Vatican II, sous l'impulsion des Frères des Campagnes qui viennent de s'installer dans le village.
Les deux vitraux du chœur et celui à l'ouest sont non-figuratifs (bleu au levant et rouge au couchant, donnant des lumières très différentes en fonction de l'ensoleillement). Ils ont été réalisés par les maîtres verriers de Valence : Mlle Girardet et Mr Thomas. Les vitraux de la nef sont l'œuvre de l'artiste autrichien Florian Jakowitch qui a travaillé sur place trois étés de suite. Il avait pour tâche de représenter les principaux personnages de l'histoire sainte[réf. nécessaire].
  • Château de la Charce : style Renaissance. Autrefois imposant, il est aujourd'hui ruiné[1].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du parc naturel régional des Baronnies provençales (départements de la Drôme et des Hautes-Alpes).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Louis Evesque (1855-1907), médecin à la Motte-Chalanon et homme politique, maire, conseiller général puis député y est né.
  • Patrice Jeener (1944-), graveur et artiste-mathématicien français, habite et a installé son atelier dans la commune[31].
  • Coline Serreau (1947-), actrice réalisatrice scénariste compositrice, et chef de chœur à la chorale du Delta. Elle est venue à la Motte-Chalancon dans le cadre du festival « Rencontres culturelles » en et en est devenue la marraine.

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

La Motte-Chalancon possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s et t Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Motte-Chalancon.
  2. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 4 (Alayant).
  3. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aiguebelle).
  5. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aigue-Douce).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre La Motte-Chalancon et Bellegarde-en-Diois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 357 (Saint-Pierre).
  19. a b c d e f g h et i J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 238.
  20. L. Rondonneau (éditeur), Collection générale des lois, depuis 1789 jusqu’au 1er avril 1814, tome huitième, IIe partie, Paris, 1818, p. 717 : « Arrêté contenant Rectification de ceux qui ont ordonné la Réduction des Justices de paix des Départemens [sic] de la Drôme, de la Haute-Garonne, du Gers, de la Mayenne, de la Meurthe, de Sambre-et-Meuse, de la Somme et de la Vendée. Du 22 février 1802 [3 Ventôse an 10]. — (III. B. 228 bis, n.° 5.) […] Canton de la Motte Chalancon. Au lieu de la Motte-Chalançon, Saint-Nazaire, lisez la Motte-Chalancon, Saint-Nazaire-le-Désert. »
  21. Roger Pierre, « Un épisode peu connu des guerres de religion : Les défenseurs de la cause commune et La guerre des Paysans », Bulletin de l'association universitaire d'études drômoises, no 15,‎ , p. 8 (lire en ligne).
  22. Roger Pierre, « Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution », Études drômoises, no 64,‎ , p. 20.
  23. « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
  24. Décret no 2014-191 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Drôme
  25. jumelage
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. L'Express du 15/07/2021.
  31. « Gravure sur Cuivre Patrice Jeener | La Drôme Tourisme », sur www.ladrometourisme.com, (consulté le ).